jeudi 16 octobre 2008

Utilité des matchs de foot : 2 € à prélever pour les Français morts pour la France

On comprend que la classe politique et tous les principaux candidats aux élections présidentielles ne veuillent plus entendre les sifflets des supporters tunisiens, et maghrébins en général, conspuant notre hymne national. Cet hourvari est en effet la révélation de la libanisation inéluctable à laquelle a conduit la perte générale de fierté de l’ensemble de la nation française.
Les sifflets de ces jeunes musulmans à carte d’identité française manifestent notamment deux choses :
1) L’échec d’une fausse éducation anti-nationale dans laquelle la grosse masse des enseignants aussi idéologisés qu’ignares ne leur a pas appris que la présence française avait décolonisé l’Algérie et la Tunisie de la domination turco-barbaresque avec son système esclavagiste, sa piraterie, son effroyable stagnation sociale et sa gigantesque corruption.
2) Les résultats de la politique d’encouragement à l’islamisation de notre pays, implantant en France un vaste dar el islam dont trop de ressortissants sont de plus en plus imprégnés de l’idéologie islamiste du coran et des hadith selon laquelle le monde non musulman est le dar el harb (territoire de l’ennemi) à conquérir par le jihad.
La haine contre la France montant sur notre sol dans certains groupes de population n’a pas de justification. Il n’y a aucune raison que les jeunes d’origine maghrébine n’aient pas dans leur ensemble le comportement globalement parfait des jeunes d’origine indochinoise dont les familles sont arrivées plus récemment encore, après avoir réchappé aux massacres et aux génocides perpétrés par les communistes.
Certains ont cru bon sur la dalle d’Argenteuil de tenir aux jeunes émeutiers des cités des propos de compréhension pour leur révolte et délinquance.
Cette démagogie était funeste.
Bien des cités françaises ne sont certes pas toujours des endroits idylliques. Mais leur tristesse vient surtout de ce qu’elles sont dégradées systématiquement.
Dans de pareils ensembles, dans toute l’Europe de l’Est, les peuples slaves vivent très paisiblement.
Les jeunes qui sifflent la France ne sont pas des délinquants sociaux. La preuve en est qu’ils ne sifflent pas des joueurs qui gagnent chaque mois cent fois le salaire d’un ouvrier, ce qui est en effet scandaleux.
Je propose donc comme première mesure civique que sur chaque billet vendu pour les matchs de foot, deux euros aillent aux caisses de secours et de solidarité pour les familles des soldats, gendarmes et policiers français morts pour la France.